Lithographie Originale Signée

LITHOGRAPHIE ORIGINALE SIGNEE JACQUES YANKEL (1920-2020) 1/50 ABSTRAIT Ca 1970


LITHOGRAPHIE ORIGINALE SIGNEE JACQUES YANKEL (1920-2020) 1/50 ABSTRAIT Ca 1970
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ART DU XXe - LITHOGRAPHIE ORIGINALE SIGNEE. PAR L'ARTISTE - ECOLE DE PARIS - ABSTRACTION. Jacques Yankel, pseudonyme de Jakob Kikoïne, né le 14 avril 1920 à Paris, mort le 2 avril 2020.

À Aubenas (Ardèche) est un peintre, sculpteur et lithographe français de la seconde École de Paris. Alors que, cinq ans après sa sour Claire, il naît à l'hôpital Boucicaut à Paris du mariage de Michel Kikoïne. Et Rosa Bunimovitz - acceptant mal cette naissance, Kikoïne avait, en compagnie de Chaïm Soutine. Fui a Cagnes-sur-Mer peu avant l'accouchement, abandon d'une durée d'un an que Rosa ne lui.

Pardonnera pas malgré le sens paternel très développé qui suivra -, Jacques Yankel passe une jeune enfance précaire dans la cité d'artistes de la Ruche, au 2, passage de Dantzig dans le 15e arrondissement, qui est demeuré le lieu d'habitation de la famille Kikoïne de 1912 à 1926. Il y grandit entouré de sa famille et des ouvres d'art jusqu'à son entrée à la maternelle. En 1926, Michel Kikoïne fait l'acquisition d'une maison à Annay-sur-Serein (par quoi Yankel demeurera lié au département de l'Yonne), puis en 1927 la famille quitte La Ruche pour s'installer à Montrouge (rue de Gentilly) - « mes mauvaises fréquentations rue de Gentilly auraient pu faire de moi un vrai malandrin » évoquera Yankel - avant de revenir - « la misère a provoqué notre départ du bel atelier de la rue de Gentilly » se souviendra-t-il encore - dans le quartier Montparnasse (7, rue Brézin) en 1933. Sa scolarité est déplorable et il sera refusé à l'École des arts appliqués et aux Beaux-Arts de Paris.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il occupe des emplois temporaires en imprimerie et atelier de gravure. En 1941, il emménage à Toulouse, en zone libre, et devient assistant géologue.

Il épouse Raymonde Jouve la même année, Michel et Rosa Kikoïne franchissant clandestinement et séparément la ligne de démarcation afin d'être présents. Il poursuit ses études et soutient brillamment un diplôme d'études supérieur en géologie à la faculté des sciences de Toulouse.

En 1946, naît sa fille Dinah Kikoïne. Il participe épisodiquement en peintre amateur au groupe du Chariot avec les artistes Jean Hugon, Michel Goedgebuer, Bernard Pagès, Christian Schmidt, André-François Vernette et Jean Teulières. En 1949, il est engagé par le ministère des Colonies pour la carte géologique de Gao-Tombouctou-Tabankort en Afrique-Occidentale française.

De cet épisode, il gardera un goût certain pour l'art africain dont il deviendra un collectionneur. L'année suivante, il rencontre inopinément Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre à Gao. Ce dernier l'encourage à se tourner vers la peinture. En 1952, il retourne habiter à Paris, se réinstallant à La Ruche, et fait ses débuts de peintre à la galerie Lara Vinci, rue de Seine. En 1954, en parallèle de sa soutenance de thèse en géologie à la Sorbonne, il expose ses ouvres à Paris et Mulhouse. En 1955, il connaît ses premiers succès en tant qu'artiste. Il gagne le prix Neumann qu'il partage avec Réginald Pollack, le 1er prix de la Société des amateurs d'art, ainsi que le prix Fénéon, se resituant lui-même ainsi : « à Paris, l'époque est au misérabilisme et je suis misérabiliste comme mes amis d'alors, Orlando Pelayo, Jean Jansem, François Heaulmé... La nouvelle école de la Ruche est constituée de Paul Rebeyrolle, Simone Dat, Michel Thompson, Michel de Gallard, qui pratiquent un réalisme expressionniste influencé par Constant Permeke, Bernard Lorjou et Francis Gruber. Et au fond assez voisin de notre travail de l'époque ». De 1957 (année qu'il associe à sa première exposition à la galerie Romanet et à l'influence de Nicolas de Staël sur son ouvre) jusqu'à 1959, il continue d'exposer et voyage au Maghreb, aux Baléares, à Genève et en Israël.

En 1960, il se marie avec Jacqueline Daneyrole à Labeaume où il élit domicile8. De 1961 à 1965, il expose à Paris, en Israël et à Amsterdam. En 1966, sa mère Rose Kikoïne meurt. En 1967, il part précipitamment en Israël pour la guerre des Six Jours. Il s'engage volontairement au kibboutz Zikhron Yaakov et Maayan Zvi et y travaille trois mois.

Son père Michel Kikoine meurt en 1968, année où il est engagé comme professeur d'art plastique par des étudiants à l'École des beaux-arts de Paris afin de succéder à Raymond Legueult, démissionnaire. Installé au 3, rue de la Cité-Universitaire, il poursuivra jusqu'en 1985 cet enseignement que l'on associe historiquement à l'émergence du mouvement Vohou-Vouhou, parti d'une vague d'étudiants de l'Êcole des Beaux-Arts d'Abidjan venus poursuivre leurs études dans son atelier, pour être de novembre 1985 à janvier 1986 le commissaire de l'exposition Arts africains - Sculptures d'hier, peintures d'aujourd'hui organisée à l'initiative de l'A. Au Musée des arts africains et océaniens de Paris. Très Belle lithographie en couleurs. Signature de l'artiste au crayon en bas à droite. Justification du tirage au crayon en bas à gauche. 64,5 x 50,5 cm. Superbe composition avec quelques éléments figuratifs en rouge.

Exemplaire assez propre, papier un peu jauni dans les marges et au verso. Petites salissures dans les marges et frottements divers. Petites Traces habituelles inévitables diverses de manipulation.

Plis mineurs divers sur bords, dans les marges, sur coins, etc.. Un coin de l'estampe est manquant. (sur angle inférieur gauche, déchirure ancienne). Qui travailla avec Jacques Yankel.

Affiche Litho ancienne Originale signée à la main par l'artiste. Ceci n'est pas une reproduction.


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